Parution Univers 10 d’OutreMonde

Vient de paraître : le dixième opus de la web-revue Univers consacrée à la littérature imaginaire et à la création graphique.

A travers une nouvelle maquette, un nouveau format : celui d’un livre animé à feuilleter en ligne, Univers 10 vous propose la lecture de cinq nouvelles et d’un article autour du thème de la rencontre et du face-à-face.

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Voici le sommaire détaillé :

Le dernier songe de Vaux, texte de Didier Reboussin, illustré par Elie Darco
Long Line of Cars, texte de Romuald Herbreteau, illustré par Bluesnake
Donnez-nous mille colombes, texte de Michaël Moslonka, illustré par Alda
Le monstre du Gévaudan, article de Claude Le Men
Ame stram gram, texte de Frédéric Czilinder, illustré par Nathy
La monstruosité d’Hollister, texte de Jean-Paul Raymond, illustré par Stéphane Reynaud

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Pour découvrir la web-revue, cliquez sur la couverture ci-dessus.

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peur J’ai personnellement collaboré à cette parution en ce qui concerne la maquette, les corrections, les interviews et l’illustration du superbe texte SF de Didier Reboussin.

Masques de Femmes en pré-commande

Mon recueil, co-écrit et co-illustré par Cyril Carau, sortira début mars aux éditions Sombres Rets.

J’ai hâte ! :super:  Ci-dessous, la couverture comme vous ne la verrez jamais, dépliée. Le réglage avec l’imprimeur m’a donné toute satisfaction en ce qui concerne les couleurs de la couverture.







Il est possible de pré-commander l’ouvrage dès maintenant au prix de 14 euros, en profitant des frais de port gratuit. Cette offre prendra fin le 1er mars.

Le livre fait 220 pages, compte 13 nouvelles et 18 illustrations en noir et blanc.

Vous pouvez en feuilleter les premières pages, ici.

Des avis sur ce recueil sont aussi disponibles sur le site de l’éditeur.

Couverture et quatrième du Chant du Cygne

La parution officielle du roman graphique Le Chant du Cygne de Cyril Carau, illustré par mes soins, est prévue pour le 26 avril 2011. Il me tarde !  tong

 

Voici le texte de quatrième de couverture :

En ce début de l’année 1920, les peuples essaient d’oublier le traumatisme de la Grande Guerre. Pour Rielo, il n’en est rien. Héros plusieurs fois décoré, il a notamment sauvé sa brigade durant le désastre de Caporetto en lui permettant de se replier. Depuis, nostalgique de cette période, il passe d’une conquête amoureuse à une autre,
d’un contrat à un autre. À la suite d’une invitation donnée par son ancien capitaine, Emilio Gianotti, il se rend en Belgique, chez le mystérieux Dorthel. Ce dernier sert d’intermédiaire à l’un des chefs d’une famille new-yorkaise, Don Larrini. Rielo est engagé pour éliminer discrètement le second de Larrini, un dénommé Gramsçi. Mais que ce soit le long des canaux de Venise ou des rues de la Grande Pomme, l’élément liquide n’est pas bien loin : l’eau, la sueur ou le sang. La violence nue dont même l’étreinte de Léa ne peut adoucir l’âpreté. Bien au contraire.

 

Pour en savoir plus, voici le document de présentation. D’autres informations sont présentes sur le site de l’éditeur La Frémillerie et celui du diffuseur : Lokomodo.

 

 

Afin d’harmoniser l’intérieur et l’extérieur de l’ouvrage, j’ai réalisé la maquette de couverture en utilisant des « morceaux » de l’une des encres du roman. Quelques tâches de sang et voilà une couverture très graphique et très teintée « polar ». d