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2018 me voilà !

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On est à la fin du mois de janvier, je n’ai plus le temps de dresser le bilan de 2017, je vais surtout me pencher sur les perspectives pour 2018 !

Après tout, 2017, c’est déjà du passé et si, côté écriture, je persiste à travailler sur des projets en cours depuis plusieurs années (Terramorphose tome 4 : De rage et de nuit), j’ai aussi l’ambition de la nouveauté, avec :

  • les corrections de mon roman jeunesse à paraître chez Rageot, sous ce titre, tout nouveau, et plus en accord avec la collection Heure noireLa nuit, tous les jouets sont gris.
  • Les corrections de mon roman Dark-Fantasy, Le crépuscule d’Æsir, à paraître chez Plume blanche, sûrement disponible, en avant-première dès fin 2018.
  • J’espère la sélection et les corrections de ma nouvelle Les loges du savoir pour l’anthologie des arts forains, anthologiste : Frédéric Czilinder, Armada éditions.
  • L’écriture d’au moins deux autres romans jeunesse courts, dont l’un est déjà pour moitié avancé : L’îlot mécanique. (Je ne me mouille pas !)
  • Écrire une ou deux nouvelles pour des appels à textes, si possible intégrable à mes arlésiens de recueils thématiques : La botte secrète (imaginaire, Italie), L’homme et l’ombre (Fantasy : medieval-, dark-, science-…)
  • Et toujours des écrits en soumission qui, j’espère, trouveront preneur tic

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Côté travaux picturaux et plastiques « personnels » :

  • En terminer de ma série aquarelle des petites chimères (Encore 4 à « hybrider » et j’en aurais 26). Puis développer l’idée de ce livre abécédaire  et donc les textes à associer.
  • Me remettre à peindre à l’acrylique des portraits… J’ai notamment l’idée d’un capitaine le visage rongé par le sel, la main sacrifiée à la mer et d’une jeune albinos indienne…
  • Refaire quelques objets steampunk et surtout les présenter ici, en photos, j’ai du retard, même sur les photos, et beaucoup de bon matériel de base qui s’est entassé depuis une grosse année.

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C’est le minimum, comme ça, je suis à peu près sûr d’y parvenir d durant l’année 2018 !

Æsir devient Le Crépuscule d’Æsir sous l’aile de Plume Blanche

Tout est dans l’intitulé de ce message :

  • la bonne nouvelle de ce manuscrit enfin accepté par un éditeur,
  • le changement de titre comme pour marquer un renouveau après des années d’attente au gré des soumissions,
  • et l’impression de rejoindre une couvée d’auteurs gouailleurs, sous l’aile d’une maison bienveillante et qui aime l’évasion…

Qui aime, oui, jusqu’à adopter ce slogan : Parce que lire est le plus beau des voyages ! Donc Le Crépuscule d’Æsir et moi, nous irons sur les ailes de Plume Blanche à la rencontre de nos lecteurs en… 2019 !

J’entends des petites voix qui se joignent à l’une, mienne et intérieure : « …mais c’est beaucoup trop long, beaucoup trop loin… » et je réponds : Le Crépuscule d’Æsir, c’est 850 000 signes espaces comprises de Dark Fantasy. « Dark dark » selon Marion Obry, mon éditrice. Avec le recul, je me dis que ça n’aura vraiment pas été facile de le placer… (je ferai peut-être un petit billet à ce sujet) ce gentil pavé d’un genre peut-être moins « à la mode » que d’autres. Ce gros récit, il faudra le peaufiner, l’enluminer d’une couverture (je tremble d’impatience en pensant aux illustrateurs qui ont été contactés…)  et le promouvoir. En somme une belle et longue aventure qui débute avant même que vous ne lisiez la première page !

 

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Inséparables, chronologie : du 1e mot à sa sortie en librairie

inséparables_chrono15 septembre 2014 : L’idée a déjà germé depuis quelques temps, après la construction d’un premier plan et les recherches bibliographiques nécessaires, j’entame la rédaction du roman. Les dix premiers chapitres sont faciles à écrire. Ensuite, à l’approche des fêtes de fin d’année, je ralentis, la période ne s’y prête pas, j’ai des doutes sur certains développements futurs du récit. Je fais une pause. Mon chemin s’éclaire à nouveau en janvier et j’avale les pages.

1 février 2015 : Je mets le point final. Je relis et corrige le tout avant de le soumettre à Cyril, mon prime bêta-lecteur.

10 février 2015 : Après une énième correction et relecture, j’adresse mon fichier à une première maison d’édition. Je la cible en premier lieu, car j’y avais été encouragée et je crois que mon manuscrit leur correspond. Les soumissions, c’est toujours long, je patiente, demande de ses nouvelles en septembre…

Novembre 2015 : je reçois un refus sous la forme d’une réponse détaillée. Il y a des idées intéressantes de « retravail » dans ce qui est dit, d’autres points avec lesquels j’ai du mal à être d’accord. Je m’accorde le reste de l’année pour réfléchir à un remodelage du roman.

Janvier 2016 : je tente un travail de réécriture. Bien vite, je me rends compte que ma première impression était légitime, le récit devient moins cohérent, il perd de sa personnalité, de sa spontanéité. Cela me donnerait moins de soucis de créer une nouvelle histoire complètement différente. Je décide donc d’abandonner et de retenter les soumissions avec ma version originelle.

Avril 2016 : J’envoie à trois maisons d’édition. Pas plus. Je cible celles dont je connais le catalogue et celles qui acceptent les fichiers numériques… C’est que ça finit par être cher d’envoyer des manuscrits !

Eté 2016 : je reçois deux refus.

18 octobre 2016 : La bonne nouvelle tombe, le roman paraîtra chez Magnard !

9 novembre 2016 : Le travail éditorial a commencé. Mélanie, responsable éditoriale chez Magnard Jeunesse, m’envoie la première moitié du roman annotée. Elle en profite aussi pour me montrer la prémaquette du visuel de couverture et je suis enchantée.

30 novembre 2016 : C’est la course, nous sommes arrivées au bout d’une première vague de correction, puis d’une seconde. Les dernières modifications sont enregistrées pour obtenir un récit « propre » pour des épreuves de presse.

12 décembre 2016 : Les épreuves, un trailer du roman ont été présentées aux partenaires presse, aux représentants commerciaux.

19 décembre 2016 : Mon contrat arrive dans ma boîte aux lettres, ainsi qu’un exemplaire épreuves du roman, c’est comme un cadeau de Noël à l’avance !

6 février 2017 : Après un mois de janvier où l’équipe était occupée ailleurs, les échanges reprennent pour affiner les corrections du roman. Valse des fichiers annotés.

2 mars 2017 : La maquette définitive du livre est partie chez l’imprimeur !

6 mars 2017 : Les efforts de promotion commencent à peine — communication sur les réseaux sociaux, envoi de services de presse, inscription à des salons littéraires ou organisation de dédicaces en librairies…

14 avril 2017 : date de parution officielle d’Inséparables. boogie

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