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[Projet] Les chroniques de l’Errant

ÉCRITURE
570 000/570 000 signes
SOUMISSION
19/20 envois

Phase : SOUMISSION

Type : Roman

Genre : Science-fiction, space-opera

Accroche :  Le néo-Terrien Arthur Chevalier possède d’étranges capacités psychiques. À bord de l’Errant, il parcourt les mondes de l’Union Humanoïde Interplanétaire, à la recherche de compagnons ‒ pirates, combattants, scientifiques ‒ pour mener à bien sa mission. Une Sorte de quête du Graal moderne au détour de laquelle les aventuriers se confronteront à des jeux de pouvoir, des entités belliqueuses, des univers en mutation…

[Projet] La Digue

ÉCRITURE
1 600 000/3 000 000 signes


Phase : ÉCRITURE

Date d’achèvement : ?

Type : Cycle de 3 romans

  1. Les voyages (achevé)
  2. Les batailles (en cours)
  3. La mémoire

Genre : Heroic-Fantasy

Accroche : Un continent s’étirant du nord au sud, un royaume, celui des Hautes Terres, balafré de reliefs montagneux, de marais, de grèves où les regards s’abîment…
Vers l’est des archipels, maigres faisceaux solides dans les flots déchaînés de la Mer du Sliff affrontant celle d’Oron…
À l’ouest, au-delà de la Mer des Bannis, entre une île paradisiaque et le berceau du givre et de glace, voici Ickane, un territoire sauvage, bastion métisse des Bannis, scindés en états militaires, car il n’y a que le fer et la discipline pour triompher des bêtes et des démons peuplant les Terres Sans Noms…
Aux extrêmes ? Il n’est de terres que celles qui appartiennent aux légendes…
Partout des peuples, des races et leurs espoirs, qui ne cessent de taire, d’oublier qu’ils ont commune origine et savaient coexister jadis…
Et c’est ici, aux îles Saliones, tandis que son neveu devient un homme, que débute le voyage du vieux sire de Crifeunsaule, chevalier de sa majesté et protecteur de la Digue, le sortilège de l’Ivrost qui défend les humains de leurs plus vils instincts.
C’est ensuite qu’il sera rejoint par d’autres, au moment où s’entremêlent les fils de leur destin, à la découverte de secrets qui ne sont que mensonges.
C’est là-bas, en Ickane, où la cavale donne la charge, où résonne le bruit des armes, que renaîtra la mémoire de ce qu’ils sont…

[Le Crépuscule d’Æsir] Influences et espoirs

Æsir se doit à diverses influences, les plus manifestes viennent sans doute de légendes nordiques, grecques et slaves. Il y a des auteurs dont je me suis nourrie, tels Robert Erwin Howard et Clark Ashton Smith, précurseurs de cette Dark-Fantasy qu’on nomme aussi parfois Sword & Sorcery et qui met en scène des guerriers aux prises avec des conflits dramatiques et des aventures épiques. Hyperborée… c’est sur un reflet des terres de ces deux grands magiciens des mots que se déroule Le Crépuscule d’Æsir.

 

 

Il est question des Hyperboréens chez des poètes grecs de l’antiquité. Cette idée d’une terre parfaite, très loin au nord, protégée du froid et des dieux, abritant un peuple ingénieux, mais toujours en guerre avec ses voisins, a fait son chemin en moi… Elle s’est mariée avec certaines particularités géographiques du monde au moment du dernier maximum glaciaire (durant le Würm) et avec ses peuplements d’animaux géants : la mégafaune. Ainsi, les grands lions blancs des cavernes, les aurochs, les dents de sabre, les mammouths, les megaloceros laissent leurs empreintes dans la neige et les pages de mon roman…

 

Je peux ajouter à la liste de mes inspirations, les récits de Moorcock, Tolkien, Le Guin ou Zelazny qui m’ont fortement et durablement impressionnée jusqu’à rejaillir, sans doute, dans mes propres histoires. D’autres influences me sont plus personnelles et constituent un pied de nez au sexisme et au racisme qui clapoteraient sous la surface de certains textes de Fantasy. Le monde dépeint dans Le Crépuscule d’Æsir est violent, l’intrigue, pour beaucoup, tragique, mais j’espère aussi y avoir ajouté quelques notes d’humour, des messages d’espoir, de tolérance et surtout un appel à l’évasion.