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Sorcière des ombres, Pascaline Nolot

C’est ce mois-ci que sort le roman jeunesse la génialissime Pascaline Nolot ! C’est dans la collection echos (+13ans) des éditions Gulf Stream.

 

Et voici le 4e :

Les vacances d’été s’annoncent mal pour Cassiopée. Ses parents lui offrent un cadeau empoisonné pour l’aider à surmonter son extrême timidité : un stage au théâtre du Serpent Vert dans une ville dont le nom même annonce l’enfer à venir, Agonie.

Ne se sentant rien en commun avec les comédiens qu’elle rejoint sous la contrainte, la jeune fille est toutefois fascinée par le mystère qui entoure La Sorcière du Rével.

Anonyme, interdite il y a des années, cette pièce que la troupe souhaite rejouer est liée à une légende locale : dans les collines environnantes existerait un mur d’ombre, frontière avec un autre monde abritant une ensorceleuse… Cette dernière exaucerait les vœux en échange d’un prix à payer. Or, des événements effrayants et inexpliqués ne tardent pas à replonger la ville dans l’angoisse…

Quelqu’un aurait-il osé passer le mur et déroger aux lois du Rével ?

[Projet] Le chasseur d’ombres

ÉCRITURE
78 000/400 000 signes

Phase : ÉCRITURE

Date d’achèvement : ?

Type : Roman

Genre : Science-Fiction, planet-opera

Accroche : Dans l’inframonde, sous la surface de Téka, on suit les aventures de Dély, un chasseur d’ombres. Les ombres, matière ou entité étrange ? constitue la principale ressource économique de Téka. Bagarreur, jouisseur, privilégié parce talentueux, Dély n’a pas l’ambition d’être un héros. Ce qui l’intéresse : le pouvoir, l’argent, les filles, mais pas forcément dans cet ordre. Victime d’une tentative d’assassinat, malgré lui, il va lever le voile sur les arcanes qui permettent aux chefs de clans de régner sur l’inframonde et aux élites de la surface d’oublier 99% de la population…

Sous un voile d’ombre

TOMBELESVOILES_HDNouvelle de l’anthologie “Tombé les voiles”, aux éditions Le Grimoire et concourant au prix Mille Saisons 2018.

Ambiance planet-opera pour ce texte de 40 000 signes espaces comprises où un chasseur de prime un peu spécial se retrouve en danger de mort…

Ce récit est l’entame du roman inachevé Le chasseur d’ombre.

Les premières lignes :

« Ce qui hante les décombres de la tour soléale n’a rien de charmant ou de sain. Les structures de la tour, ses parois qui s’effritent au ralenti, singent la carcasse putrescente d’une énorme bestiole que la planète ne pourra jamais digérer. J’ai rendez-vous dans un hall situé sur son flanc gauche. Le coin a si mauvaise réputation qu’avant même d’en approcher, pendu à mon crochet propulseur, je suis tout entier aux aguets. Lorsqu’on est chasseur, c’est pas plus réfléchi ou compliqué que de respirer. Une goulée après l’autre. Une proie après l’autre. Ce que je traque d’ordinaire, ce sont les ombres. Mais aujourd’hui, j’innove ! Je vais donner dans la contrebande. Je prends aussi le risque d’œuvrer ailleurs que sur mon territoire. La faute à une blessure récente et à une putain de dette dont les intérêts sont devenus galopants… »