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Reparution de Les Runes de Feu de Cyril Carau

Ce roman de Cyril Carau a connu une première publication aux Editions du Riez en 2015. Après la fermeture de la maison d’édition en 2017, Les Runes de feu retrouve enfin leur chemin en direction des lecteurs en s’ajoutant au catalogue des éditions Sombres Rets.

Septembre 1938. États-Unis. Un tueur en série que la presse a surnommé « L’Inquisiteur de la Nouvelle-Angleterre » fait peser un climat de terreur sur New York. Le cadavre d’une jeune fille vient d’être découvert. C’est déjà la troisième victime et son corps est gravé de runes mystérieuses. En charge de l’enquête, deux agents du FBI, Jack Byrne et Scott Summers, reçoivent l’aide d’archéologues de l’université Columbia. Parmi eux, la belle et aventureuse Coraline Starlin. Au fil de leurs investigations, alors que les morts s’accumulent et qu’un ouragan s’approche, le coupable demeure insaisissable. Plus inquiétant encore, L’Inquisiteur semble transgresser les lois de la nature pour atteindre et frapper ses proies…

Roman noir où les coups de théâtre s’enchaînent, Les Runes de Feu, nous emporte au cœur d’un mythe de destruction et de grandeur.

  • « L’intrigue est enlevée, le suspense et les rebondissements sont présents à chaque page… » Pascaline Nolot

  • « La traque de l’Inquisiteur et du Prophète m’a passionnée ! Plein d’images vont me rester en tête ! » Aurélie Wellenstein

  • « L’auteur nous convie à un thriller fantastique dont on ne sort pas indemne… » Yves-Daniel Crouzet

Et pour la couverture de ce roman, j’ai fait de mon mieux pour lui donner une nouvelle tête après l’excellent travail qu’avait fait Aurélien Police peur

[Le Crépuscule d’Æsir] La gestation du roman

Le Crépuscule d’Æsir est mon premier roman achevé. Pas le premier à prendre forme dans l’écriture, pas le premier à germer dans mon esprit (celui-ci je l’ai commis à 16 ans et je me repenche dessus actuellement pour voir ce qui est « sauvable »…), mais le premier à se voir porter à maturité, à se conclure d’une façon qui me convienne.

 

 

Cinq années ont passé entre le mot de la fin et la première phrase posée sur le papier en novembre 2007. À l’époque, il s’agissait de rédiger une longue nouvelle intitulée Le jour dernier. C’était peu après la parution de l’anthologie Les enfants de Conan (Éons) pour laquelle j’avais rédigé la L’innommée. Avec la Dark-Fantasy destinée aux adultes, j’avais l’impression d’avoir trouvé un terrain d’écriture plus libre et ouvert. Un genre qui encourage les longs récits, les styles un peu lyriques, les vastes univers. Qui outrepasse quelques frontières : violence, passion, cynisme… Moins de codes, moins de limites, c’est un genre qui me permet d’être plus franche avec moi-même… et ça m’est plus « facile » plus « naturel ».

 

Aussi, lorsque j’ai eu achevé Le jour dernier, je n’ai pas su refermer l’écritoire, j’avais encore des choses à dire et j’avais fait mien ce lieu commun : celui où on s’attache vraiment à ses personnages.

Le jour dernier, retravaillé, détaillé, est donc devenu le premier chapitre du Crépuscule d’Æsir. Une chute, une hécatombe, comme point de départ, ça ouvrait plus de portes que prévu. Et « raccord » au son sujet principal : la vengeance. Si j’ai mis cinq ans à achever Æsir (ah le mauvais jeu de mots !), c’est que j’ai fait de nombreuses pauses pour écrire d’autres choses dans l’intervalle et pour répondre à des appels à textes, à des opportunités d’être éditée… Et j’ai beaucoup lu, aussi, bref je me suis nourrie d’influences et d’espoir… (titre d’un prochain billet sur Æsir)

 

J’ai rédigé les six premiers chapitres assez lentement, puis j’ai presque attendu deux ans pour écrire le reste. Entre-temps, mon ambition avait encore grandi pour les personnages, ou alors j’avais sous-évalué la quantité à écrire pour relater tel ou tel évènement… Enfin, en juillet 2011, pour le chapitre 11, tandis que le thermomètre battait des records de chaleur (pauvre ordinateur ^^  ) je faisais des gros scores en terme de nombre de signes par jour. Autour de 20 000, mon record personnel.

 

Mais le plus long était à venir… euh  La phase de soumission ! Jugez plutôt : la première intervient en octobre 2011, la dernière prend fin en octobre 2017 avec Plume Blanche. C’est là que la « moi de 2017 » aurait dû sauter dans sa machine à remonter le temps pour prévenir la « moi de 2007 » de cette superbe nouvelle, mais à quoi bon ? Je l’aurais écrite malgré tout, cette histoire. Elle aurait vu le jour d’une façon ou d’une autre, et sans paradoxe temporel. Elle existait sans moi, avant moi… sempiternelle histoire de vengeance…

Parution de l’anthologie : Animaux Fabuleux

couverture_animaux-fabuleux1p  Le 17 avril, paraîtra, aux éditions Sombres Rets, une anthologie de nouvelles dirigée par Cyril Carau. Dragon, sirène, renarde à neuf queues, chat quantique, licorne, faune, araignée métallique, dahu, gargouille, loup géant, cochon savant vous attendent, pour des rencontres étonnantes, au fil des pages de :

  • La chasse du baron de Richecourt de Aurélie Genêt,
  • Les chats de Schrödinger de Anne Goulard,
  • La Dernière Neige de Delphine Hédoin,
  • Comme les rois mages… de Jean-Marc Sire,
  • La Valse de la Sirène de Bleuenn Guillou,
  • À la poursuite du khting voar de Tepthida Hay,
  • Si tu n’es pas sage de Florian Petit,
  • Ivresse ignée de Florian Bonnecarrère,
  • The spider and the fly de Thibault de Lambert,
  • Par les liens toxiques de la chair de Frédéric Darriet,
  • Propensia animis spongiasis de Emmanuel Ardichvili,
  • Cochon qui s’en dédit de Marie Czarnecki,
  • Inari no Shinden de Ophélie Hervet,
  • La Bête de Pascaline Nolot,
  • Gare à la Gouille ! de Eric Vial-Bonacci,
  • Ganiagwaihegowa de Phil Becker,
  • Game over de Virginie Perraud,
  • Le dernier des Massaliotes de C.D. Inbadreams,
  • L’Épave du Bout du Temps de Sylwen Norden,

Pour plus d’informations et commander votre exemplaire, rendez-vous dans la boutique.

Le communiqué de presse : Animaux fabuleux parution Sombres Rets