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Dédicaces à la librairie Expression

Le samedi 9 décembre, vers 11h, j’aurais le plaisir de rejoindre la petite ville de Chateauneuf de Grasse et le bel entourage lettré de la librairie Expression (10, Place des Pins, 06740 Châteauneuf de Grasse) pour une rencontre autour de mon roman Inséparables. Thriller, anticipation, à lire dès 13 ans.

Je serai accompagnée de Philippe Limon auteur de Léonard et l’oiseau bleu, un roman jeunesse merveilleux paru aux éditions Magnard et qui s’adresse aux lecteurs de 9 ans et plus.

 

Jeunes  lecteurs, lecteurs aguerris et passionnés, nous vous espérons nombreux à la librairie, en ce samedi de décembre dévolu à la recherche des présents de Noël…  Et des livres ? n’est-ce pas du meilleur effet sous le sapin ? tic

 

Salon du livre et de la presse jeunesse 2017 à Montreuil

Le livre se fête en Seine-Saint-Denis pour la 33e édition du Salon du livre et de la presse jeunesse ! Du 29 novembre au 4 décembre 2017, ce festival, le plus grand en Europe, qui soit ouvert au public et dédié à l’édition jeunesse, vous accueillera à l’Espace Paris-Est-Montreuil (128, rue de Paris – 93100 Montreuil). Au programme ? des expositions, rencontres, performances, ateliers, débats professionnels…

Des milliers de livres, des centaines d’exposants, auteurs, illustrateurs… j’ai bien de la chance d’y avoir une petite place, avec mon roman Inséparables.

Pour me trouver, rien de plus simple, enfilez vos meilleures chaussures, et rendez-vous, vendredi entre 16h30 et 18h30, ainsi que samedi entre 11h et 13h, au niveau 1, repère D13, sur le stand de Magnard jeunesse et Albin Michel jeunesse.

Informations, plan d’accès, annuaire des exposants, tout est sur le portail du SLPJ.

L’entrée est gratuite pour tous le vendredi, gratuite pour les moins de 18 ans durant tout le festival… Dans tous les cas, il faut commander son titre (même gratuit) sur la billetterie.

 

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Inséparables, l’histoire de l’écriture d’un roman

img_4257Dans un billet futur, je retracerai la chronologie précise de l’aventure Inséparables.   Ici-même, c’est presque la Préhistoire du roman que je vous raconte. Rassurez-vous pas d’atelier de taillage de silex au programme… juste quelques jalons sur : comment le roman a émergé. tic

J’imagine qu’il y a autant d’auteurs, autant de source d’inspiration initiale ou de déclic pour démarrer un récit. L’étincelle pour Inséparables n’avait rien de poétique, d’onirique et ne provenait pas non plus d’un besoin existentiel. Je voulais écrire un roman « young adult ». Je n’aime pas trop les étiquettes, encore moins les sigles anglais à la con, pardon, mais quand c’est affaire de mode, il faut savoir être souple. Avec plusieurs manuscrits SFFF « adultes » dans mes tiroirs et zéro touche en soumission à cette époque, je voulais tenter une autre approche du Grand Méchant Éditeur insaisissable. flap

Mon expérience au tremplin Blackmoon m’avait donné une vague idée des  « goûts et envies » de la direction. Moins de violence, plus de romance, moins de créatures, plus d’aventures, moins d’imaginaire et d’intrigues enchevêtrées, plus de contemporain et de simplicité… et surtout pas de dents longues… Je me suis donc orientée vers l’idée d’un récit un peu psychologique dans le traitement des personnages, mais en même temps nerveux et rebondissant, comme un thriller. Pour ne pas créer de distance avec le lecteur, je l’ai ancré dans un contexte de polar et de légère anticipation et non pas dans de la SF très futuriste. Restait cette histoire de romance et mon impression qu’il était facile de tomber dans le cliché ou le « déjà lu » en usant de cet ingrédient… Tout a déjà été écrit ou presque, on écrit jamais rien de vraiment neuf, le diable se trouve dans les détails… gna, gna, gna, oui, mais pour beaucoup, l’Amour est au centre de toutes les bonnes histoires (cette autopromo que je fais ^^). Alors comme primes intérêts affectifs (pour pas écrire love interest), j’ai choisi de raconter les aventures d’un frère et d’une sœur.

Ça, c’étaient mes ambitions de base. Ensuite, l’histoire et les personnages ont pris le pas sur mes bonnes résolutions. Néanmoins, arrivée au point final, j’avais tout de même l’impression d’avoir rempli le cahier des charges. Un tour de soumission plus tard, il apparaissait que la mode avait peut-être encore changé… C’est le travers de l’auteur long à la détente : d’avoir toujours une histoire de retard sur ce qui sort en librairie.

Elle est où la morale ? Y en a pas. On peut plaire de plusieurs façons. L’acceptation d’un manuscrit c’est une affaire de goût et de contexte… J’ai soumis à trois autres éditeurs, dont Magnard Jeunesse. Le facteur chance, qui fait que tu frappes à la porte au bon moment, existe aussi. Cette chance, je l’ai eue, auteurs qui me lisez, je vous la souhaite ! smile

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