Voici des aquarelles de support pour l’atelier d’écriture Illustrons le printemps 2024 à Rognes.
Sujet d’inspiration visuelle.
Thèmes : printemps & monde de demain
Voici des aquarelles de support pour l’atelier d’écriture Illustrons le printemps 2024 à Rognes.
Sujet d’inspiration visuelle.
Thèmes : printemps & monde de demain
Roman d’anticipation, Seconde nature, paru chez Le Lamantin, s’adresse à tous les lecteurs à partir de 13 ans. Le roman débute par une exposition assez classique, autour de Léo, le personnage central : sa vie, l’école, ses relations avec ses parents, ses amis… quoique l’univers Science-fiction du récit, soit déjà bien campé, particulier et coloré. Puis la pression sur le héros s’approfondit et l’action devient de plus en plus rapide. Les bouleversements qui le frappent rendent la lecture enrichissante, prenante. J’ai, par exemple, beaucoup aimé les passages concernant les changements qui le frappent, notamment ce qui est dit de ses perceptions. C’est bien rendu, décrire avec vérité ce type d’évolution n’est certainement pas facile.
Brillant par de nombreux aspects, le texte fait montre de bons ingrédients de fond, de personnalité, contient des messages écologiques, de l’aventure, du suspens et il est supporté par un style agréable.
Un roman polymorphe et ramifié, tout autant qu’un thalle mycélien… (blague de geekobiologiste à l’attention de l’auteur, faites pas attention :crazy: )
Théo et le mange-mort, mon premier roman jeunesse, paraîtra le 18 octobre aux éditions Sombres Rets. Juste que là, il est disponible en précommande (cela finance le premier tirage) à 12 euros, avec frais de port et marque-page gratuit. Il compte 8 illustrations et 9 coloriages en fin d’ouvrage.
Ce roman est une histoire tendre dont les deux personnages principaux sont Théo, un petit garçon âgé de 10 ans, et Sylver, un ver blanc géant nécrophage. Ces deux-là vont rencontrer des créatures et animaux rigolos dans les profondeurs du monde terreux, tandis qu’ils cherchent Tom, le chien de Théo, décédé tout récemment. Il est donc question d’aventures fantastiques, d’un voyage lié à un deuil et à sa compréhension par l’enfant et aussi de quelques « vraies » notions écologiques au milieu de beaucoup de bêtises pour faire rire les petits dès 7 ans et les plus grands de 12, 13 ans.
Pour en savoir plus (lire le début) et y souscrire, rendez-vous chez Sombres Rets.