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Masques de Femmes en souscription !

Mon recueil de nouvelles fantastiques, écrit et illustré en collaboration avec mon chéri, Cyril Carau est dès à présent en souscription sur le site du Calepin Jaune Editions. :beer:

Voici la couverture dépliée (cliquez pour consulter la fiche et le commander) :

Titre : Masques de Femmes
Auteurs et illustrateurs : Elie Darco & Cyril Carau
Parution : février 2009
Collection : Absinthes
ISBN : 978-2-917372-16-6
Format : 15 x 21 cm
210 pages environ

Prix : 19,60 €
( pendant les souscriptions, les frais de port pour la France métropolitaine sont offerts)

Un ex-libris offert pour les 50 premières souscriptions !

Ci-dessous un extrait du 4ème de couverture :

La totalité est à lire sur le site de l’éditeur, il y a aussi un extrait d’une de mes nouvelles, La Vieille Femme et la Mer. mimi

 

Sur le tombeau du 19ème siècle, treize nouvelles fantastiques illustrées se recueillent, pour faire écho au romantisme noir, à l’esthétique macabre, au symbolisme qu’affectionnaient les artistes et intellectuels de l’époque.
Paris, durant la commune, Cécile fuit la folie de la semaine sanglante en s’adonnant à des voyages, à des rencontres d’outre-temps. Prague, Deirdre la non-vivante, en quête de sang et de vérité, poursuit son engendreur de sa vengeance. Séville, une gitane tente de changer le destin d’un jeune médecin aux notes langoureuses d’un flamenco. Venise, Fausta, aristocrate et aventurière, plonge au cœur des sombres secrets de la cité des Doges. Londres, modèle et muse des peintres préraphaélistes, Jane vous invite au mystérieux festin des Dieux.

Notre recueil “Masques de Femmes” à paraître…

C’est avec joie, que je peux maintenant annoncer la parution prochaine de Masques de Femmes au Calepin Jaune éditions.

C’est prévu pour février 2009

Il s’agit d’un recueil de nouvelles fantastiques victoriennes co-écrites avec Cyril Carau. ( mon amoureux pour ceux qui suivent pas love )

Ce recueil comptera quelques 13 nouvelles, certaines illustrées, qui évoqueront la Femme, sous différents aspects, et avec plus au moins de noirceur, de mystère et de sensualité. Sans prétendre étreindre (plutôt que  » faire le tour  » :charm: ) la totalité du sujet « féminin », nous espérons que les lecteurs aimeront, se reconnaitront, trembleront ou détesteront ces femmes de différentes origines, pays, âges ou conditions.

Pour partager la belle aventure que fut l’édification de ce recueil, Cyril et moi avons ouvert un blog qui lui est et sera consacré. C’est aussi un moyen d’en faire la promo 4grin

 

Pour l’instant y’a pas grand chose à lire mais on y pourvoira sous peu…

Cliquez pour voir le blog :

Le carnaval du lazaret

Nouvelle publiée dans Le Calepin Jaune n°14.

Texte de 30 000 signes espaces comprises, vampirique, fantastique, vénitien et victorien. C’est un écrit auquel je tiens particulièrement parce qu’il a présidé à ma rencontre avec Estelle Valls de Gomis, collaboratrice, éditrice, auteure dont je suis fan et plus encore adorable amie.

Ma nouvelle a été illustrée par Cyril Carau.

Il est du nombre des nouvelles de La botte secrète, encore en cours d’écriture, un recueil qui rassemble des intrigues se déroulant en Italie.

Les premières lignes :

” Je suis ce que je suis, ni une jeunesse, ni une héroïne de contes de fée… Je suis ce que je suis, à l’envers du temps et des eaux saumâtres qui rongent les étais de la cité vénitienne. J’ai près de trois cents ans d’âge, sans compter ceux que j’ai vécus sous une apparence humaine. Si mon cœur s’est arrêté de battre, il y a bien longtemps, il y résonne encore les clameurs des flots de la lagune, le chant clapotant de la pluie sur le dôme de San Marco, le bruit spongieux du gondolier enfonçant sa perche. Je ne connais plus le goût du vin, des mets raffinés servis à la table des princes ou du pain chaud acheté contre quelques ducats sur la place du marché. Mes yeux se perdent sur des abîmes de ténèbres recouvrant ma patrie aux portes de la nuit. Les couleurs que je sais parer les corniches, les balcons aériens et les volets des maisons et des palais, s’occultent à mon regard depuis que la grande bouche de noirceur m’a avalée. Mais mon être, lui, se souvient encore ce que c’était d’être vivante… “