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AT Animaux fabuleux

le_sommeil_est_d_orPour sa nouvelle anthologie, Sombres Rets lancent un appel à textes sur le thème des : animaux fabuleux.

Ils sont dangereux, rares ou minuscules, issus des mythes ou d’une expérience in vitro, prodiges magiques ou aberrations biologiques, et peupleront vos récits…

Contraintes :

  • textes inédits
  • rédigés en langue française.
  • jusqu’à trois nouvelles par auteur
  • entre 10 000 et 40 000 signes espaces comprises.
  • format numérique : .doc, .docx, .rtf, .odt.
  • Genres : fantasy, fantastique, science-fiction, policier, aventure…
  • Deadline : 31 juillet 2016

Pour obtenir des infos supplémentaires et envoyer sa participation, suivre ce lien

Livre Paris 2016

livre-paris-2016Cette année encore, j’aurais plaisir à vous rencontrer sur le stand des éditions Le Grimoire, dans le cadre du salon Livre Paris 2016 qui se tiendra Porte de Versailles.

Je dédicacerai des exemplaires de l’anthologie La Cour des miracles, le samedi entre 10h et 20h. A 17h, le prix Mille saisons sera remis aux deux lauréats qui œuvreront l’un à la plume, l’autre au pinceau, à la création d’un roman illustré qui paraitra cette année chez le Grimoire. Ambiance et petits fours assurés !

L’arénaire du Deucalion

couverture-cour-des-miraclesNouvelle parue dans l’anthologie “La Cour des miracles”, aux éditions Le Grimoire et concourant au prix Mille Saisons.

Nouvelle de science-fiction de 40 000 signes espaces comprises, une gladiatrice moderne, à bord d’un vaisseau-monde en déliquescence, qui lutte pour sa liberté.

Ce récit est la version courte de l’une des aventures space-opéra inscrites au recueil L’errant.

Les premières lignes :

« Il amorce un mouvement de taille à hauteur de mon épaule et le scintillement de sa lame à décharges remplit mon champ de vision de phosphènes. Je romps l’engagement, ma main droite tendue devant. C’était juste ! Dans la senestre, mon arme pique légèrement vers le bas pour l’amener à la faute. Mon adversaire se méfie, l’invite est trop franche. Lentement, nous entamons une nouvelle danse. Pas chassés, pieds glissant de côté, car chaque perte de contact avec le sol peut permettre à nos électro-glaive de mordre plus fermement dans nos chairs. Les éperons fixés à nos talons ne nous garantissent du foudroiement que s’ils se trouvent à moins d’un pouce de la surface de l’arène. Laquelle est un hexagone bleu de vingt mètres de diamètre, un ensemble de couches aux propriétés physiques modifiables, innervé comme une peau et commandé à distance… «