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Les derniers feux d’Æsir

Débuté à l’automne 2007, je viens de mettre un point final à ce roman tandis que l’été 2011 va finissant. C’est donc l’heure du bilan.

Æsir, le titre est encore provisoire, peut-être vais-je lui adjoindre un sous-titre ou complétement, Æsir donc, est un gros (850 000 pour ceux qui seraient pas familiers de mes petits compteurs de signes) roman de fantasy barbare. Son prologue est disponible en livre animé dans la section des écrits. Plus de quatre ans m’auront été nécessaires pour dérouler tous les fils de cette histoire. C’est plutôt honnête comme durée de gestation. cool

J’ai l’air d’accuser le coup, mais ne vous y fiez pas, la déprime post-écriture s’est emparée de moi et depuis ce matin, après une mauvaise nuit, (comme la veille d’un exam) je ne parviens pas vraiment à couper le cordon. Alors vous dire ce que je ressens, ce qu’il en est de ma satisfaction, de mon jugement, de mes attentes, de mes espoirs pour l’édition, cela attendra que je digère…

Une certitude cependant, j’entreprends dès à présent les corrections, suivra la bêta-lecture de mon cher et tendre, et d’autres relectures avant une possible soumission.

C’est tout, c’est dit. Je suis vidée. N’y voyez aucune connotation déplacée oops

Bye Bye lovers

C’est pas peu fière que je passe écrire ce petit billet entre deux maquettes.

Ce midi, j’ai mis le point final à mon roman d’amour (voir message précédent). Il est encore un peu tôt pour tirer des conclusions, faire un bilan, j’ai pas vraiment de recul sur l’histoire, le style, vous pensez bien ! mais je peux faire deux trois constats :

  • 480 000 signes espaces compris (j’avais prévu 250 000, c’est dire combien je suis forte en pronostics !)
  • 32 jours d’écriture intensive (et love song en boucle…)
  • en moyenne : 2H, 2H30 par jour (un chouya plus les week-end et les nuits où j’ai eu mal aux dents)
  • La « blanche », c’est beaucoup plus rapide ( facile ?) à écrire que ne le sont les épopées Fantasy ou les multivers de Science-fiction.
  • :warrior: La protocelte en moi a même réussi à s’attacher à ces personnages. Cela présage d’une phase de Novel Blues.

Je passe maintenant en mode correction. Et ensuite, mon bêta-lecteur qui grogne déjà de la longueur du bébé pourra se faire les dents dessus.