Mon affection pour wordpress (cf la plateforme de ce blog) ne cessant de se renouveler, j’ai cédé à l’envie qui me tenaillait depuis sa sortie : adopter la version 3 de wordpress pour le site des éditions Sombres Rets.

J’adhère à ses multiples nouveaux avantages en ce qui concerne la gestion des widgets (ces mignons petits composants que l’on pose où l’on a envie dans les colonnes ou en pied de page pour afficher pages, informations, nuages de tags, images rotatives…), celle des menus (nettement améliorée et facilité), celle des extensions toujours plus nombreuses et inattendues dans le cadre d’un « blog », ou encore concernant la gestion médias à ajouter dans les billets, toute chose qui n’était pas très malléable dans certaines versions précédentes. Mais arrêtons-nous là concernant la technique, des tas de blogueurs se sont penchés sur les atouts de ce nouveau wordpress et en parlent beaucoup mieux que moi !

Qui dit nouvelle version, dit souvent : adaptation du thème (les fichiers codant l’apparence de votre blog). Mais moi, plutôt que de l’adapter, j’ai décidé de tout modifier.

Exit la toile perlé de gouttes d’encre de la première version, j’ai repris les « rets » en main (désolée pour le mauvais jeu de mot  💡 ) pour constituer une interface qui rappelle davantage le logo et les découpes qui figurent sur la maquette des ouvrages de Sombres Rets.

Des couleurs de blocs, de barres et de liens plutôt neutres : du blanc au noir, avec des effets de transparence, pour qu’à chaque nouvelle parution je puisse changer l’image de fond et que les couleurs s’harmonisent toutes seules.

Enfin, j’ai complètement repensé le mode de navigation, ajouté des tas de « gadgets » pour mettre l’accent sur les livres et la boutique. Finalement j’ai fait que ce blog utilisé comme un CMS ressemble à nouveau plus à blog qu’à un site, à contrario du thème précédent. Ah ! femme  inconstante !

Que nenni ! :cy L’encroûtage c’est le mal, le net évolue, les goûts des gens (les miens aussi) de même, on fait plus des sites web comme dans les années 80 avec un fond noir et des liens en rouge vif et en vert fluo  💡 Dieu merci !

Réactivité, dynamisme, réseau sociaux etc… les gens aiment obtenir l’information en un clic, quitte à scroller plus dans les pages. Et puis ce qui bouge et gigote ça plait toujours 

Reste la dernière raison de ce grand chambardement : j’aime bien changer le papier-peint, j’ai des périodes design-addict, si je m’écoutais je créerais des tas de sites sans avoir rien, ni le temps ! de les remplir.

Heureusement je me suis pas encore lassée de ma machine à rêver donc ce blog survivra encore quelques temps sous cette apparence…