Nouvelle publié dans le Rêveur solitaire.
Court texte à chute humoristique ou absurde.
Voici les premières lignes :
”
— C’était le plus beau des rêves ! Elle s’avançait vers moi, dans un déploiement de grâce et de lumière, sa silhouette d’oiseau discernable sous une cascade de soie multicolore. Elle avait la rousseur flamboyante et changeante des feuillages automnaux, des traits dont je n’aurais jamais cru possible la perfection et la suavité. Une bouche comme enflée de désir, des yeux si clairs que je les croyais immenses sur sa peau d’albâtre. Elle était magnifique, elle était à moi ! Et le plus beau, c’est qu’elle me souriait… Elle tendait sa main dans ma direction, ralentissant le pas puis son doigt se pointait soudain et je ne voyais plus que lui…. “